Alice au pays des Merveilles.



Le texte commence ainsi : ‘ALICE, assise auprès de sa sœur sur le gazon, commençait à s’ennuyer de rester là à ne rien faire ; une ou deux fois elle avait jeté les yeux sur le livre que lisait sa sœur ; mais quoi ! pas d’images, pas de dialogues ! « La belle avance, » pensait Alice, « qu’un livre sans images, sans causeries ! »’

On peut la comprendre, vous vous imaginez ? Vous ? Etre obligé de rester collée à votre sœur, sur un gazon plein de Fourmies à la regarder lire un livre ? Non mais déjà, là, ça ne va pas ! Comme-ci une jeune fille allait rester bien sagement là sans rien essayer de faire pour se divertir. Bon, il ne faut pas oublier qu’Alice est blonde, alors c’est compréhensible.


‘Elle s’était mise à réfléchir, (tant bien que mal, car la chaleur du jour l’endormait et la rendait lourde,) se demandant si le plaisir de faire une couronne de marguerites valait bien la peine de se lever et de cueillir les fleurs, quand tout à coup un lapin blanc aux yeux roses passa près d’elle.’

Bon, déjà, la meuf ! Elle reste au chaud, sans chapeau, en plein soleil. Déjà faire une couronne de marguerites, ça passe pas trop. Et puis apparemment elle a la flemme. Alors expliquez-moi une chose : POURQUOI ne s’est-elle pas déjà demandé si elle avait ou non envie de bouger son cul ? Enfin bon, c’est une blonde, on le rappelle. Et tout à coup comme ça, elle voit un lapin blanc aux yeux roses. Moue, enfin s’il a vraiment les yeux roses, moi je veux le nom de la drogue qu’il prend pour avoir cet effet très kitch.


‘Il n’y avait rien là de bien étonnant, et Alice ne trouva même pas très-extraordinaire d’entendre parler le Lapin qui se disait : “ Ah ! j’arriverai trop tard ! ” (En y songeant après, il lui sembla bien qu’elle aurait dû s’en étonner, mais sur le moment cela lui avait paru tout naturel.) Cependant, quand le Lapin vint à tirer une montre de son gousset, la regarda, puis se prit à courir de plus belle, Alice sauta sur ses pieds, frappée de cette idée que jamais elle n’avait vu de lapin avec un gousset et une montre. Entraînée par la curiosité elle s’élança sur ses traces à travers le champ, et arriva tout juste à temps pour le voir disparaître dans un large trou au pied d’une haie…’

Non bien sur, il est connu qu’un lapin blanc ait des yeux roses et parle. Et en plus de ça, elle trouve cela logique de suivre ce lapin. Bon peut-être elle voulait l’attraper pour en faire une bête de foire et gagner des millions ? Elle a peut-être pensé que le lapin était allé voir son ophtalmo pour se faire prescrire des lentilles de contacts roses ? De plus, le fait qu’un lapin ait une montre l’a intrigué, c’est peut-être qu’elle n’était pas si droguée que ça finalement ? Je rappelle aussi un détail, Alice était censée être fatiguée. Elle avait la flemme d’aller cueillir des fleurs, mais pour courir après un lapin aux yeux roses, elle a la pèche la Alice. Vous croyez qu’elle a prit une dose d’extasie ?


« Un instant après, Alice était à la poursuite du Lapin dans le terrier, sans songer comment elle en sortirait.
Pendant un bout de chemin le trou allait tout droit comme un tunnel, puis tout à coup il plongeait perpendiculairement d’une façon si brusque qu’Alice se sentit tomber comme dans un puits d’une grande profondeur, avant même d’avoir pensé à se retenir. »

La fille, je pense qu’elle est ou stupide ou totalement amoureuse des lapins. En effet, ce sont les deux seules raisons pour que quelqu’un se jette dans le terrier d’un petit lapin.



CONCLUSION DE CETTE PREMIERE PARTIE :

On comprend donc qu’Alice est une jeune fille qui se fiche de ce qu’on lui raconte, qui vit dans sa bulle, est dépendante de la drogue, flemmarde et qui ne réfléchit vraiment pas assez avant d’agir.

‘De deux choses l’une, ou le puits était vraiment bien profond, ou elle tombait bien doucement ; car elle eut tout le loisir, dans sa chute, de regarder autour d’elle et de se demander avec étonnement ce qu’elle allait devenir. D’abord elle regarda dans le fond du trou pour savoir où elle allait ; mais il y faisait bien trop sombre pour y rien voir. Ensuite elle porta les yeux sur les parois du puits, et s’aperçut qu’elles étaient garnies d’armoires et d’étagères ; çà et là, elle vit pendues à des clous des cartes géographiques et des images. En passant elle prit sur un rayon un pot de confiture portant cette étiquette, « MARMELADE D’ORANGES. » Mais, à son grand regret, le pot était vide : elle n’osait le laisser tomber dans la crainte de tuer quelqu’un ; aussi s’arrangea-t-elle de manière à le déposer en passant dans une des armoires.
" Certes," dit Alice, " après une chute pareille je ne me moquerai pas mal de dégringoler l’escalier ! Comme ils vont me trouver brave chez nous ! Je tomberais du haut des toits que je ne ferais pas entendre une plainte." (Ce qui était bien probable.)’



Alors dés le début, je ne sais pas où elle est tombée, peut-être dans une dimension parallèle. Et l’Alice, au lieu de paniquer, elle décide d’admirer le paysage. Mais elle se demande ce qu’elle va devenir, quand même ! Un peu de bon sens ? A bah non, elle se le demande vaguement. Elle ne s’étonne même pas de voir des objets flotter autour d’elle et qui ne tombe pas eux ! Non, elle a faim ! Elle pense à manger et prend un pot de confiture. Son seul regret est qu’il est vide et sa seule peur est de tuer quelqu’un. Et puis on ne sait d’où elle sort cette manie, mais elle décide de ranger le pot dans une armoire qui passe par là. Et si c’était l’armoire à assiettes hein ?

Et voilà qu’elle se prend pour superman façon woman. Comme si elle était invincible et pouvait faire une chute de deux mètres sans se faire mal. Non mais là, faut vraiment vérifier s’il n’y a pas de champignons hallucinogènes dans son alimentation !



‘Tombe, tombe, tombe ! " Cette chute n’en finira donc pas ! Je suis curieuse de savoir combien de milles j’ai déjà faits," dit-elle tout haut. " Je dois être bien près du centre de la terre. Voyons donc, cela serait à quatre mille milles de profondeur, il me semble." (Comme vous voyez, Alice avait appris pas mal de choses dans ses leçons ; et bien que ce ne fût pas là une très bonne occasion de faire parade de son savoir, vu qu’il n’y avait point d’auditeur, cependant c’était un bon exercice que de répéter sa leçon.) " Oui, c’est bien à peu près cela ; mais alors à quel degré de latitude ou de longitude est-ce que je me trouve ? " (Alice n’avait pas la moindre idée •de ce que voulait dire latitude ou longitude, mais ces grands mots lui paraissaient beaux et sonores.)
Bientôt elle reprit : " Si j’allais traverser complètement la terre ? Comme ça serait drôle de se trouver au milieu de gens qui marchent la tête en bas. Aux Antipathies, je crois." (Elle n’était pas fâchée cette fois qu’il n’y eût personne là pour l’entendre, car ce mot ne lui faisait pas l’effet d’être bien juste.) " Eh mais, j’aurai à leur demander le nom du pays. — Pardon, Madame, est-ce ici la Nouvelle-Zemble ou l’Australie ? " — En même temps elle essaya de faire la révérence. (Quelle idée ! Faire la révérence en l’air ! Dites-moi un peu, comment vous y prendriez-vous ?) • " ’ Quelle petite ignorante!’ pensera la dame quand je lui ferai cette question. Non, il ne faut pas demander cela ; peut-être le verrai-je écrit quelque part."’



Elle continue, elle ne se demande pas comment ils feront là-haut pour la remonter, si il va falloir qu’elle hurle pour se faire entendre non. Elle veut juste savoir ce qui se trouve en bas. Sans se demander si elle ne va pas mourir. Ralàlà, pense-t-elle être immortelle en plus d’être superwoman ? Si c’est le cas, Alice est vraiment bonne pour l’hôpital psychiatrique. Et elle trouve le moyen de se tuer la cervelle à calculer la longitude et la latitude. Aurait-elle oublié qu’elle tombait ? Et donc que sa position n’est pas la même d’une seconde à l’autre ? Et qu’est ce qu’on leur apprend ? Des gens qui marchent la tête en bas ? Oui pourquoi pas. Ils auraient les pieds tout blancs et la tête toute rouge. Et elle se demande dans quel pays elle va atterrir ! Mais a-t’elle seulement pensé à la langue, si t’en est que cela soit possible, qui n’est pas du tout la même que la sienne ?



‘Tombe, tombe, tombe ! — Donc Alice, faute d’avoir rien de mieux à faire, se remit à se parler : " Dinah remarquera mon absence ce soir, bien sûr." (Dinah c’était son chat.) " Pourvu qu’on n’oublie pas de lui donner sa jatte de lait à l’heure du thé. Dinah, ma minette, que n’es-tu ici avec moi ! Il n’y a pas de souris dans les airs, j’en ai bien peur ; mais tu pourrais attraper une chauve-souris, et cela ressemble beaucoup à une souris, tu sais. Mais les chats mangent-ils les chauves-souris ? " Ici le sommeil commença à gagner Alice. Elle répétait, à moitié endormie : " Les chats mangent-ils les chauves-souris ? Les chats mangent-ils les chauves-souris ? " Et quelquefois : " Les chauves-souris mangent-elles les chats ? " Car vous comprenez bien que, puisqu’elle ne pouvait répondre ni à l’une ni à l’autre de ces questions, peu importait la manière de les poser. Elle s’assoupissait et commençait à rêver qu’elle se promenait tenant Dinah par la main, lui disant très sérieusement : " Voyons, Dinah, dis-moi la vérité, as-tu jamais mangé des chauves-souris ? " Quand tout à coup, pouf ! la voilà étendue sur un tas de fagots et de feuilles sèches, et elle a fini de tomber.’



Voilà, la folie commence. Alice est prise au piège dans ce puits qui semble sans fond et le seul à qui elle pense c’est son chat ! Est-ce sa seule amie pour ainsi parler d’elle ? Si c’est le cas, Alice est aussi une asociale complète ! De plus, cette hypothèse peut-être plausible car elle rêve de Dinah humaine lui tenant la main et non d’une chatte qu’elle tiendrait dans ses bras.



'Alice ne s’était pas fait le moindre mal. Vite elle se remet sur ses pieds et regarde en l’air ; mais tout est noir là-haut. Elle voit devant elle un long passage et le Lapin Blanc qui court à toutes jambes. Il n’y a pas un instant à perdre ; Alice part comme le vent et arrive tout juste à temps pour entendre le Lapin dire, tandis qu’il tourne le coin : " Par ma moustache et mes oreilles, comme il se fait tard ! " Elle n’en était plus qu’à deux pas : mais le coin tourné, le Lapin avait disparu. Elle se trouva alors dans une salle longue et basse, éclairée par une rangée de lampes pendues au plafond.
Il y avait des portes tout autour de la salle : ces portes étaient toutes fermées, et, après avoir vainement tenté d’ouvrir celles du côté droit, puis celles du côté gauche, Alice se promena tristement au beau milieu de cette salle, se demandant comment elle en sortirait.'



Alors, elle ne se fait pas mal, elle se relève vite, à croire que cette chute n’a été qu’une maladresse de la jeune fille qui se serait prit les pieds dans sa robe trop longue ! Au lieu d’analyser le lieu où elle se trouve et essayer de trouver un moyen de sortir, quitte à paniquer, la jeune fille préfère courir après les lapins …. Enfin on parle beaucoup du lapin blanc quand même. Ne serait-ce pas une allusion à un autre genre de lapin ? Si vous voyez ce que je veux dire… Après tout, Alice est en âge de penser à cela et de s’interroger là-dessus…

Et les portes alors ? A quoi servent-elles si une seule s’ouvre ? Il n’y aurait pas pu y en avoir qu’une et basta, ou même pas du tout tiens !







CONCLUSION DE CETTE DEUXIEME PARTIE :

Alice est une fille qui ne réfléchit pas assez, est impulsive et n’a aucun sens des priorités. Elle se laisse guider, au petit bonheur la chance, pensant peut-être que le monde des bisounours lui est ouvert et que la faim, la soif, le danger ne sont qu’optionnel et donc qu’elle n’a à se soucier de rien appart courir un lièvre….

‘Tout à coup elle rencontra sur son passage une petite table à trois pieds, en verre massif, et rien dessus qu’une toute petite clef d’or. Alice pensa aussitôt que ce pouvait être celle d’une des portes ; mais hélas ! Soit que les serrures fussent trop grandes, soit que la clef fût trop petite, elle ne put toujours en ouvrir aucune. Cependant, ayant fait un second tour, elle aperçut un rideau placé très-bas et qu’elle n’avait pas vu d’abord ; par derrière se trouvait encore une petite porte à peu près quinze pouces de haut ; elle essaya la petite clef d’or à la serrure, et, à sa grande joie, il se trouva qu’elle y allait à merveille. Alice ouvrit la porte, et vit qu’elle conduisait dans un étroit passage à peine plus large qu’un trou à rat. Elle s’agenouilla, et, jetant les yeux le long du passage, découvrit le plus ravissant jardin du monde. Oh ! Qu’il lui tardait de sortir de cette salle ténébreuse et d’errer au milieu de ces carrés de fleurs brillantes, de ces fraîches fontaines ! Mais sa tête ne pouvait même pas passer par la porte. " Et quand même ma tête y passerait, " pensait Alice, " à quoi cela servirait-il sans mes épaules ? Oh! Que je voudrais donc avoir la faculté de me fermer comme un télescope ! Ça se pourrait peut-être, si je savais comment m’y prendre." Il lui était déjà arrivé tant de choses extraordinaires, qu’Alice commençait à croire qu’il n’y en avait guère d’impossibles.’



Ils essayent de nous faire croire qu’il est normal qu’une table se balade dans le vide. Et une fois la porte ouverte, déjà, comment Alice peut-elle voir à travers ? Essayez donc de regarder dans un trou de sourie et vous verrez si vos yeux arrivent à l’ouverture du trou ou non !

Déjà là, on se demande vraiment quelle drogue elle a put ingurgiter ! Ca a l’air de tenir dis donc. Peut-être que ça a atteint les neurones de façon irréversible ? Qui sait ?



‘Comme cela n’avançait à rien de passer son temps à attendre à la petite porte, elle retourna vers la table, espérant presque y trouver une autre clef, ou tout au moins quelque grimoire donnant les règles à suivre pour se fermer comme un télescope. Cette fois elle trouva sur la table une petite bouteille (qui certes n’était pas là tout à l’heure). Au cou de cette petite bouteille était attachée une étiquette en papier, avec ces mots " BUVEZ-MOI " admirablement imprimés en grosses lettres.

C’est bien facile à dire " Buvez-moi," mais Alice était trop fine pour obéir à l’aveuglette. " Examinons d’abord," dit-elle, " et voyons s’il y a écrit dessus ’ Poison ’ ou non." Car elle avait lu dans de jolis petits contes, que des enfants avaient été brûlés, dévorés par des bêtes féroces, et qu’il leur était arrivé d’autres choses très désagréables, tout cela pour ne s’être pas souvenus des instructions bien simples que leur donnaient leurs parents : par exemple, que le tisonnier chauffé à blanc brûle les mains qui le tiennent trop longtemps ; que si on se fait au doigt une coupure profonde, il saigne d’ordinaire ; et elle n’avait point oublié que si l’on boit immodérément d’une bouteille marquée " Poison " cela ne manque pas de brouiller le cœur tôt ou tard.

Cependant, comme cette bouteille n’était pas marquée " Poison," Alice se hasarda à en goûter le contenu, et le trouvant fort bon, (au fait c’était comme un mélange de tarte aux cerises, de crème, d’ananas, de dinde truffée, de nougat, et de rôties au beurre,) elle eut bientôt tout avalé.
" Je me sens toute drôle," dit Alice, " on dirait que je rentre en moi-même et que je me ferme comme un télescope." C’est bien ce qui arrivait en effet. Elle n’avait plus que dix pouces de haut, et un éclair de joie passa sur son visage à la pensée qu’elle était maintenant de la grandeur voulue pour pénétrer par la petite porte dans ce beau jardin. Elle attendit pourtant quelques minutes, pour voir si elle allait rapetisser encore. Cela lui faisait bien un peu peur. "Songez donc," se disait Alice, "je pourrais bien finir par m’éteindre comme une chandelle. Que deviendrais-je alors ? " Et elle cherchait à s’imaginer l’air que pouvait avoir la flamme d’une chandelle éteinte, car elle ne se rappelait pas avoir jamais rien vu de la sorte.’



Personne ne semble lui avoir appris de ne jamais boire une substance inconnue ! Celle-ci semble d’ailleurs contenir des Champignons puisqu’Alice se croit rétrécir. En plus, sous prétexte que « poison » n’est pas écris dessus, la bouteille n’en contient pas ! Ben voyons. Vous avez déjà vu un criminel donner un verre de poison à quelqu’un en lui disant « tiens bois ça, c’est du poison, ça va te tuer tu verras. » ? Non mais franchement ! Quelle imprudence. Cela apprend donc aux enfants à mettre à la bouche tout ce qu’ils trouvent.

Déjà, je ne vois pas comment un mélange de tarte aux cerises, de crème, d’ananas, de dinde truffée, de nougats et de rôties au beurre peut-être excellent. Faut goutter, faut voir, mais je garantie pas la qualité de ce produit « insatisfait pas remboursé ». Après, on peut en déduire que ce qu’elle avale habituellement est tellement écœurant que ça en deviendrait un cas de maltraitance.

Et le malaise ne se fait apparemment pas attendre puisqu’elle-même se sent toute drôle et semble tomber dans les pommes. Enfin bon, on nous fait croire qu’avec ce mélange on peut devenir minuscule. Imaginez le traumatisme des gamins qui ont essayé ce breuvage chez eux ensuite ! Non seulement ils n’ont pas rétrécie mais en plus, ils ont dus tomber malade.

Et là ! Au lieu de se demander si la clé se trouvant sur la table n’aurait pas pu servir, la demoiselle se demande à quoi ressemble une flamme éteinte ! Est-ce qu’elle le fait exprès ou est-elle aussi sotte qu’elle y parait ?







CONCLUSION DE CETTE TROISIEME PARTIE :

Alice est une droguée qui en plus d’être cruche semble tout trouver normal et surtout n’a pas l’air de réaliser ce qui se passe. Elle divague totalement et doit être une fille très perturbée. Elle doit être hyperactive puisqu’elle ne peut se concentrer plus de deux minutes sur une chose. La pauvre jeune fille a donc plusieurs maux à son actif : l’hyperactivité, la drogue et la frustration sexuelle.

'Un moment après, voyant qu’il ne se passait plus rien, elle se décida à aller de suite au jardin ; mais hélas, pauvre Alice ! en arrivant à la porte, elle s’aperçut qu’elle avait oublié la petite clef d’or. Elle revint sur ses pas pour la prendre sur la table. Bah! impossible d’atteindre à la clef qu’elle voyait bien clairement à travers le verre. Elle fit alors tout son possible pour grimper le long d’un des pieds de la table, mais il était trop glissant ; et enfin, épuisée de fatigue, la pauvre enfant s’assit et pleura.'



Quelle cruche cette Alice quand même! Même pas capable de penser à prendre la clé dans sa main avant de boire le liquide. Non mais franchement. Trop impatiente pour réfléchir. Et elle pleur. En plus d'être têtue, peu vive, peu intelligente et trop curieuse, nous voilà avec une Alice braillarde. Oui, cette fille est une caricature de la stupidité des enfants à elle toute seule. Mais après tout, peut-être que ce conte veut seulement dire: "Attention, si vous faites des enfants, ils deviendront aussi stupides qu'elle." Au moins, c'est le plus efficace des contraceptifs. Les gens vont réfléchir à deux fois avant de satisfaire leurs envies sexuels...





" Allons, à quoi bon pleurer ainsi," se dit Alice vivement. " Je vous conseille, Mademoiselle, de cesser tout de suite ! " Elle avait pour habitude de se donner de très-bons conseils (bien qu’elle les suivît rarement), et quelquefois elle se grondait si fort que les larmes lui en venaient aux yeux ; une fois même elle s’était donné des tapes pour avoir triché dans une partie de croquet qu’elle jouait toute seule ; car cette étrange enfant aimait beaucoup à faire deux personnages. " Mais," pensa la pauvre Alice, " il n’y a plus moyen de faire deux personnages, à présent qu’il me reste à peine de quoi en faire un."



Tiens, ici, nous pouvons constater une Alice schizophrène qui se parle à elle-même et à la troisième personne. De plus la voilà qui donne des signes de mutilations. En effet, le fait qu'elle s'auto-tape est le début des mutilations et donne donc l'image d'une fille dépressive et mal dans sa peau. A croire qu'Alice le fait exprès pour pouvoir se faire du mal. Ne serait-ce pas assez malsain si c'était le cas? Mais après tout, Alice est peut-être un peu sado-masochiste sur les bords. Ce qui expliquerait tout.





Elle aperçut alors une petite boîte en verre qui était sous la table, l’ouvrit et y trouva un tout petit gâteau sur lequel les mots " MANGEZ-MOI " étaient admirablement tracés avec des raisins de Corinthe. " Tiens, je vais le manger," dit Alice : "si cela me fait grandir, je pourrai atteindre à la clef ; si cela me fait rapetisser, je pourrai ramper sous la porte ; d’une façon ou de l’autre, je pénétrerai dans le jardin, et alors, arrive que pourra ! "



Pour une fois, Alice a eut un éclair d'intelligence. Mais elle agit bien trop vite. Comment peut-elle être sur que ce gâteau la fera grandir ou rapetisser? Il est vrai que se serait logique, mais qui sait? Elle a bien vu un lapin aux yeux roses parler, alors pourquoi pas.





Elle mangea donc un petit morceau du gâteau, et, portant sa main sur sa tête, elle se dit tout inquiète: " Lequel est-ce ? Lequel est-ce ?" Elle voulait savoir si elle grandissait ou rapetissait, et fut tout étonnée de, rester lu même ; franchement, c’est ce qui arrive le plus souvent lorsqu’on mange du gâteau ; mais Alice avait tellement pris l’habitude de s’attendre à des choses extraordinaires, que cela lui paraissait ennuyeux et stupide de vivre comme tout le monde.


Aussi elle se remit à l’œuvre, et eut bien vite fait disparaître le gâteau.



La gourmande n'a pu céder à la tentation! Et quand bien même l'effet ne fut pas immédiat, pourquoi n'a t'elle pas attendu un peu? Peut-être qu'elle voulait tout simplement manger et se fichait des conséquences? Après tout, c'est ce qu'elle faisait depuis le début. Ne pas réfléchir et foncer tête baisser. On dit que la curiosité est un vilain défaut. Et vu l'attitude d'Alice, ce proverbe n'a jamais dus atteindre ses oreilles.





CONCLUSION DE CETTE QUATRIÈME PARTIE



Ici, on peut constater qu'Alice est également quelqu'un d'impulsif, de totalement dénuée de réflexion et qui aime se faire mal. C'est une jeune fille gourmande qui, comme les enfants, mets à la bouche tout ce qui passe devant ses yeux. Heureusement que ce ne fut pas autre chose qu'un gâteau...si vous voyez ce que je veux dire. Mais la question qu'il faut se poser c'est, qu'est ce que l'auteur d'Alice au pays des merveilles cherche t-il à faire passer comme message? Est-ce qu'il veut nous dire que la stupidité est encré chez les blondes? Chez les femmes? Ou bien cherche t-il a nous faire comprendre quelque chose de plus subtile? C'est ce que nous allons tacher de découvrir.


[A suivre]

MDR, cette revisite d'Alice m'avait manquée tient ^^

je l'ai pas fini ^^

J'attends la suite en tout cas! C'est pas mal du tout.

merci j'y travaille

' « DE plus très-curieux en plus très-curieux ! » s’écria Alice (sa surprise était si grande qu’elle ne pouvait s’exprimer correctement) : « Voilà que je m’allonge comme le plus grand télescope qui fût jamais ! Adieu mes pieds ! » (Elle venait de baisser les yeux, et ses pieds lui semblaient s’éloigner à perte de vue.) « Oh ! mes pauvres petits pieds ! Qui vous mettra vos bas et vos souliers maintenant, mes mignons ? Quant à moi, je ne le pourrai certainement pas ! Je serai bien trop loin pour m’occuper de vous : arrangez-vous du mieux que vous pourrez. — Il faut cependant que je sois bonne pour eux, » pensa Alice, « sans cela ils refuseront peut-être d’aller du côté que je voudrai. Ah ! je sais ce que je ferai : je leur donnerai une belle paire de bottines à Noël. »
Puis elle chercha dans son esprit comment elle s’y prendrait. « Il faudra les envoyer par le messager, » pensa-t-elle ; « quelle étrange chose d’envoyer des présents à ses pieds ! Et l’adresse donc ! C’est cela qui sera drôle.

À Monsieur Lepiédroit d’Alice,
Tapis du foyer,
Près le garde-feu.
(De la part de Mlle Alice.)

Oh ! que d’enfantillages je dis là ! » '

Et voilà, l’alcool maintenant ! Elle voit ses pieds disparaître, se voit allonger et elle dit au revoir à ses pieds ! Et pire encore, alors qu’elle est encore attachée à eux, elle croit vraiment qu’ils disparaissent et qu’elle les perds ! Et en plus elle croit qu’ils vont partir tout seul !!! Non mais sérieusement, elle sort d’où cette fille ? De Mars ???!!! Et en plus elle leur donne une adresse pour qu’ils reçoivent des cadeaux !!! Sincèrement, je crois que cette pauvre cruche perd totalement l’esprit….


'Au même instant, sa tête heurta contre le plafond de la salle : c’est qu’elle avait alors un peu plus de neuf pieds de haut. Vite elle saisit la petite clef d’or et courut à la porte du jardin.
Pauvre Alice ! C’est tout ce qu’elle put faire, après s’être étendue de tout son long sur le côté, que de regarder du coin de l’œil dans le jardin. Quant à traverser le passage, il n’y fallait plus songer. Elle s’assit donc, et se remit à pleurer.'

Et voilà ce qui se passe quand on ne réfléchit pas ! Bah oui, déjà elle oublie qu’elle est grande et tombe comme une merde mais en plus elle n’a pas pensé une seule seconde qu’elle ne pourrait plus passer par la porte ! Ses parents ont oublié de cocher la case cerveau quand ils l’ont fabriqués ou quoi ??? Ha non ils ont coché la case Blonde ! C’est pire !!!


'« Quelle honte ! » dit Alice. « Une grande fille comme vous » (« grande » était bien le mot) « pleurer de la sorte ! Allons, finissez, vous dis-je ! » Mais elle continua de pleurer, versant des torrents de larmes, si bien qu’elle se vit à la fin entourée d’une grande mare, profonde d’environ quatre pouces et s’étendant jusqu’au milieu de la salle.
Quelque temps après, elle entendit un petit bruit de pas dans le lointain ; vite, elle s’essuya les yeux pour voir ce que c’était. C’était le Lapin Blanc, en grande toilette, tenant d’une main une paire de gants paille, et de l’autre un large éventail. Il accourait tout affairé, marmottant entre ses dents : « Oh ! la Duchesse, la Duchesse ! Elle sera dans une belle colère si je l’ai fait attendre ! » Alice se trouvait si malheureuse, qu’elle était disposée à demander secours au premier venu ; ainsi, quand le Lapin fut près d’elle, elle lui dit d’une voix humble et timide, « Je vous en prie, Monsieur — » Le Lapin tressaillit d’épouvante, laissa tomber les gants et l’éventail, se mit à courir à toutes jambes et disparut dans les ténèbres.'

Et voilà qu’elle se reparle à la troisième personne. Décidément ça ne s’arrange pas. Et la solitude ne fait qu’aggraver les choses ! Mais que font ses parents ?!! Ces symptômes ne sont pas là seulement depuis aujourd’hui que je sache !!!! Ou peut-être sont-ils aussi sain d’esprit qu’elle ? A savoir pas du tout !
Et voilà le lapin blanc qui réapparait. Cacherait-elle un inhalateur de champignon hallucinogène dans sa poche ??? Une vraie Junkie Cette Alice, c’est moi qui vous le dit ! Et oui, d’où tu demandes de l’aide à un lapin binoclard ?? Tu crois vraiment qu’il va t’aider ? Non mais franchement cette fille est la pire sotte jamais existé !

Alice ramassa les gants et l’éventail, et, comme il faisait très-chaud dans cette salle, elle s’éventa tout en se faisant la conversation : « Que tout est étrange, aujourd’hui ! Hier les choses se passaient comme à l’ordinaire. Peut-être m’a-t-on changée cette nuit ! Voyons, étais-je la même petite fille ce matin en me levant ? — Je crois bien me rappeler que je me suis trouvée un peu différente. — Mais si je ne suis pas la même, qui suis-je donc, je vous prie ? Voilà l’embarras. » Elle se mit à passer en revue dans son esprit toutes les petites filles de son âge qu’elle connaissait, pour voir si elle avait été transformée en l’une d’elles.

Et voilà qu’elle psychote ! En même temps, qui ne psychoterai pas quand il devient fou ? Et oui Alice, si tu veux ! Y’a des bonhommes en blouse blanche qui sont venus t’intégrer des puces dans le cerveau et transformer ton organisme en ferraille. Oui Alice, tu es un robot si tu veux ! Et voilà qu’elle nous fait une crise d’identité ! Non mais franchement vous ne pouvez pas me faire croire qu’Alice était une gamine tout à fait normale quand elle était plus jeune !!! Et voilà qu’elle croit avoir prit possession d’une autre enfant !! Mais qu’on l’enferme bon sang de bonsoir !!!

« Bien sûr, je ne suis pas Ada, » dit-elle. « Elle a de longs cheveux bouclés et les miens ne frisent pas du tout. — Assurément je ne suis pas Mabel, car je sais tout plein de choses et Mabel ne sait presque rien ; et puis, du reste, Mabel, c’est Mabel ; Alice c’est Alice ! — Oh ! mais quelle énigme que cela ! — Voyons si je me souviendrai de tout ce que je savais : quatre fois cinq font douze, quatre fois six font treize, quatre fois sept font — je n’arriverai jamais à vingt de ce train-là. Mais peu importe la table de multiplication. Essayons de la Géographie : Londres est la capitale de Paris, Paris la capitale de Rome, et Rome la capitale de — Mais non, ce n’est pas cela, j’en suis bien sûre ! Je dois être changée en Mabel ! — Je vais tâcher de réciter Maître Corbeau. » Elle croisa les mains sur ses genoux comme quand elle disait ses leçons, et se mit à répéter la fable, d’une voix rauque et étrange, et les mots ne se présentaient plus comme autrefois :
« Maître Corbeau sur un arbre perché,
Faisait son nid entre des branches ;
Il avait relevé ses manches,
Car il était très-affairé.
Maître Renard, par là passant,
Lui dit : « Descendez donc, compère ;
Venez embrasser votre frère. »
Le Corbeau, le reconnaissant,
Lui répondit en son ramage :
« Fromage. » »

Bon déjà elle sait qui elle n’est pas….Mais j’avoue que sans qu’elle ne le dise, on n’aurait jamais découvert ça tout seul ! Bravo Alice fais nous savoir ta science ! Alors 4 fois 5 égal 12 je ne le savais pas, j’étais persuadé que c’était égal à 20 !! Idem pour 4 fois 6 que je pensais être 24 et je n’étais pas au courant que Paris était un pays capitale de Rome qui était la capitale d’une ville inconnue et que Londres était la capitale du grand pays qu’est Paris. J’ai vraiment tout à revoir !!! Et la fable de la Fontaine ! Un grand classique !! Tout le monde sait qu’elle se présente ainsi voyons ! Non franchement Alice a des problèmes mentaux ! Elle devrait faire un cheack up complet et surtout mental ! Et de préférence revenir en maternelle ! Ou peut-être qu’elle a dut se débrouiller seule ? Qu’elle n’a pas de parents ? Une fille de la rue ? Mouais on y croit tous !

« Je suis bien sûre que ce n’est pas ça du tout, » s’écria la pauvre Alice, et ses yeux se remplirent de larmes. « Ah ! je le vois bien, je ne suis plus Alice, je suis Mabel, et il me faudra aller vivre dans cette vilaine petite maison, où je n’aurai presque pas de jouets pour m’amuser. — Oh ! que de leçons on me fera apprendre ! — Oui, certes, j’y suis bien résolue, si je suis Mabel je resterai ici. Ils auront beau passer la tête là-haut et me crier, « Reviens auprès de nous, ma chérie ! » Je me contenterai de regarder en l’air et de dire, « Dites-moi d’abord qui je suis, et, s’il me plaît d’être cette personne-là, j’irai vous trouver ; sinon, je resterai ici jusqu’à ce que je devienne une autre petite fille. » — Et pourtant, » dit Alice en fondant en larmes, « je donnerais tout au monde pour les voir montrer la tête là-haut ! Je m’ennuie tant d’être ici toute seule. »

Non non Alice arrête de chialer ! T’es pas Mabel t’es bien Alice la débile ! Et franchement si tu veux mon avis, apprendre tes leçons seraient vraiment une bénédiction ! Non mais franchement cette cruche est une vraie flemmarde !!! Et voilà qu’elle se prend pour une princesse. Et si ceux qui vivent ici ne veulent pas d’elle ? Elle n’y a pas pensé à celle là hein ! Et elle ne sait pas ce qu’elle veut ! Faut savoir Alice ! Tu veux retourner chez toi ou rester ici ? Tu ne peux pas avoir le beurre et l’argent du beurre bécassine !!!

Comme elle disait ces mots, elle fut bien surprise de voir que tout en parlant elle avait mis un des petits gants du Lapin. « Comment ai-je pu mettre ce gant ? » pensa-t-elle. « Je rapetisse donc de nouveau ? » Elle se leva, alla près de la table pour se mesurer, et jugea, autant qu’elle pouvait s’en rendre compte, qu’elle avait environ deux pieds de haut, et continuait de raccourcir rapidement.

Et en plus Alice est une voleuse !!! Non que dis-je une cleptomane puisqu’elle semble ne pas s’en rendre compte ! Enfin c’est ce qu’elle dit. Comment juger de la bonne foi d’une psychotique souffrant de skyzophrénie ? Et voilà les effets secondaires de ses drogues ! Elle grandit, elle rapetisse, elle grandit….ou alors tout est dans sa tête et la folie commence à la gagner ! Oui, c’est plutôt ça qu’autre chose à mon avis !


CONCLUSION DE CETTE CINQUIEME PARTIE:

Maintenant on peut dire qu’Alice, en plus d’être une jeune fille qui se fiche totalement de ce que l’on peut lui raconter, qui vit dans sa bulle, est une droguée, une flemmarde qui ne réfléchit pas, qui est impulsive et n’a aucun sens des priorité, on peut également dire qu’elle est naïve, cruche, n’a aucune notion des choses est hyperactive et a en elle une grande frustration sexuelle. Elle est également masochiste puisqu’elle adore se faire mal. Elle est très gourmande, alcoolique atteinte de psychose ayant un très grand retard scolaire, on peut même dire qu’elle se trouve en echec scolaire … Peut-être sèche t’elle les cours pour aller prendre de la Beu dans les toilettes ? Elle est également une pleurnicheuse et une râleuse !!! Mais qu’est ce que ce conte cherche t’il donc à apprendre aux enfants d’aujourd’hui ?? Est-ce un livre d’initiation à une secte ???? Vu la tournure que ça prend, cette hypothèse n’est pas négligeable. Nous allons le prouver par la suite….

[A SUIVRE]