enquète, enquète, interview...danger?....[Martin jones]

La curiosité. C’est quelque chose que tout le monde a en lui. Mais Loïs plus qu’un autre. Elle avait avec Chloé, un don inné pour dégotter les affaires étranges. Loïs avait donc fait ses petites recherches. Elle avait trouvé pas mal de choses qui s’étaient produits lors des différentes pluies de météorites sur Smallville. Ses recherches l’avaient menée vers une personne. Elle avait fouillé et s’était rendu compte que tout n’était pas net chez un certain Martin jones. Mais également pas mal de similarité entre lui et différents phénomènes étranges. Bien sur, on ne voit que ce que l’on a envie de voir.

Elle avait filé Martin Jones pendant un certain temps, prenant pas mal de photos de lui. Elle avait ensuite comparé ses photos avec celle du Flou, les retouchant pour tenter de faire disparaître Martin. Coïncidence, le mélange de couleur pouvait donner des similarités entre les deux personnes. Jamais Loïs n’avait été aussi loin de la vérité.

Ni une ni deux, Loïs sorti du journal pour la centième fois au moins cette semaine et s’en alla à la recherche de cet homme. Il fallait l’interviewer. Il y avait pas mal de mystère autour de lui et Loïs comptait bien découvrir tout ça.

Elle le suivit jusqu’au centre ville de Métropolis, se demandant où il allait ainsi et si elle allait découvrir des choses intéressantes. D’ailleurs, elle avait une boule d’excitation dans le ventre, comme à chaque fois qu’elle menait sa petite enquête. Pourquoi n’avait-elle pas choisi d’être policière ? Trop de règles, trop proche du métier de son père et surtout pas assez de liberté. Loïs ne pouvait garder une enquête pour elle, et être dans la police, avec accès à tous les dossiers de tous, n’aurait fait que mettre encore plus de bazars dans la ville. Oui, elle aurait mené ses enquêtes elle-même et n’aurait pas hésité à écrire dessus…En bref, le journalisme était dans sa nature, c’était sa voie, ce métier était fait pour elle.

Le Docteur Martin Jones arpentait les rues du centre-ville de Métropolis à pied. se n'était pas une chose facile quand on boitait et qu'on s'aidait d'une canne pour marcher, mais il avait garé sa voiture non loin de là. Aujourd'hui, s'était la journée shopping. Il participait à une réunion importante le lendemain et pour y allait, il se voulait élégant. Nouveaux costume, nouvelle chemise, nouvelle chaussure, nouvelle canne, en-gros, la totale. Actuellement il se dirigeait vers une boutique qu'il connaisse bien, celle où il achetait toutes ses cannes. Le vendeur de cette boutique pouvait déniché des cannes incroyables, de la toute simple en passent par la plus élaborée, il y avait même des cannes en bois taille à la main. Il se retrouvât à l'entrée du magasin quand regardât le ciel, il avait fait beaux jusque là, mais des nuages commencent à faire leurs apparitions.

~J'espère qu'il ne pleuvra pas, je n'est pas pris de parapluie~

IL entra finalement dans le magasin. Le vendeur était occupé à ranger des articles dans ses rayons quand le docteur entra, il ce retournage aussitôt, saluât Martin et lui demandât s'il pouvait l'aider.

Non merci, je ne sais pas quel style je vais prendre aujourd'hui.

Le vendeur s'en retournât à ses occupations et Martin se dirigeât verts une étagère remplie de canne suspendue sur une barre. Quand son regard passer par la vitrine il vit une jeune femme qu'il crue reconnaitre, mais il ne réagissât pas tout de suite. Il prit une canne en main.

~cette silhouette me dit quelque chose...~

Il regarda à nouveau par la vitrine en espèrent reconnaitre la jeune femme, mais elle n'était plus là. Je doit me faire des idées. Le vendeur demanda en quoi il pouvait aider son client, car il croyait que Martin s'était adressé à lui.

Non, merci. Je réfléchissais tout haut.

Il reporta son attention à nouveau sur les cannes.

La jeune femme suivit Martin jusqu’au magasin. Il n y avait pour le moment rien de très intéressant. Elle prit tout de même une photo, on ne sait jamais, et alla s’installer sur un banc, sous les arbres, plus loin mais de façon à avoir pleine vue sur le magasin.
Elle alluma le magnétophone :

« Sujet numéro 452 entre dans une boutique. Il semble vouloir s’acheter une canne. Sujet numéro 452 n’est pas encore allé travailler. »

Loïs était sure qu’elle allait trouver quelque chose sur lui. Elle voulait le suivre un moment avant de commencer à aller l’interroger. Le ciel commença à gronder et à devenir noir. Loïs, ne voulant pas se faire griller dés le début de son opération filage, entra dans la boutique d’à côté et acheta la première chose qu’elle trouva….à savoir une batterie pour voiture… Bah oui, manque de chance, c’était un magasin spécialisé dans la mécanique automobile…Tant pis, elle le mettra sur la facture du Daily Planet.

Oui en effet, lors de ses scoops, Loïs achetait pas mal de choses, histoire de se couvrir, et souvent, l’article finissait dans le Daily planet. Quand c’était le cas, le journal lui remboursait ses achats. Quand ce n’était pas le cas, c’était pour sa pomme, mais généralement elle arrivait à revendre les objets, alors peu importe.

La jeune femme sorti de la boutique et vérifia que son sujet était toujours là. Coup de bol, il y était. Elle passa devant la boutique et tourna à l’angle, restant dans l’ombre pour voir quand mister Jones sortirait du magasin afin de continuer à le filer.

Le docteur Martin Jones était toujours devant l'étagère remplie de canne. Il les regardait une par une et se demander laquelle il allait choisir. Il finit par choisir un canne classique, mais dont la poignée était en corne, elle était classe sans s'être trop extravagante. Il la prit d'une main puis se dirigeât vers le comptoir pour payent son achat. Le vendeur, qui fessait toujours attention à ses clients, vis que le docteur s'était placé en fasse du comptoir et aussitôt, allât se portait derrière celui-ci. Il prit la canne du docteur en regardât l'étiquette et, avec un politesse digne d'un majordome anglais, lui réclama la somme de dix-neuf dollars. Martin sortit de son porte-feuille une carte de crédits. La canne fût vite payée et vite emballé. Une canne dans une main, un paquet sous le bras, dans ses conditions il aurait été difficile pour le docteur de sortir du magasin, mais s'était sans conté la gentillesse du vendeur qui lui ouvrit la porte. Le docteur Martin Jones retournage à sa voiture, toujours le paquet sous le bras. Une fois arrivait à sa voiture, il regarda à gauche et à droite pour voir s'il y avait du monde, en apparence personne ne regardaient dans sa direction. Il posât le paquet qui contenait sa nouvelle canne sur le capot de la voiture qui était garé juste derrière la sienne puis ouvrit son coffre pour y posait le paquet à l'intérieur.

Spoiler:

La jeune femme le vit payer et enfin se diriger vers une voiture. Il y rangea sa canne. Bon là, elle ne pouvait plus reculer. Elle était venue en voiture, mais cette dernière se trouvait trop loin pour venir la récupérer maintenant. Tant pis ! C’était le moment de foncer.

« Monsieur ! Excusez-moi ! Monsieur ! Attendez !! Ne montez pas dans cette voiture ! »

La jeune femme arriva en courant et referma la portière de la voiture de Martin. Elle le regarda. Maintenant il lui fallait inventer une excuse, mais ça, elle savait faire. Loïs était toujours pleine de ressources insoupçonnées :

« Je crois que quelqu’un a piéger votre voiture. Si vous mettez le courant, ça va faire boum ! »

Puis elle lui tendit la main :

« Loïs Lane, du Daily Planet. »

Elle alluma son dictaphone et commença :

« J’ai des questions à poser au héros de métropolis. Accordez-moi quelques instants. »

Puis, sans laisser le temps à Martin de répliquer, la jeune femme enchaina :

« Qu’est ce que cela fait de sauver des vies tous les jours ? Pourquoi ne pas dévoiler votre véritable identité ? Votre super vitesse et votre force incroyable vous vient-elle des pluies de météorites ? Qu’est ce que ça fait d’être démasqué aujourd’hui ? »

La jeune femme, satisfaite, tendit le magnétophone à Martin, ou plutot à la bouche de ce dernier, de façon à ce qu’il répond à ses questions. Elle se trouvait colée à la voiture de Martin et semblait ne pas vouloir lui céder le passage.